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84±0.89 in patients with IGHD; -0.47±0.2 in patients with MPHD (p˃0.05). In multiple regression analysis, First Year Delta Height-SDS was the most predictive factor for both FAH-SDS and Delta Height-SDS. Conclusion GH treatment provided the majority of our patients to achieve a final height compatible with their genetic potential as well as population standards. First Year Delta Height-SDS was found a predictive factor for FAH. Commencement of GH therapy at the prepubertal period was not found associated with a better height outcome.OBJECTIVE Today, the high prevalence of depression is one of the major health problems of pregnant women. This study aimed to assess the relationship between antenatal depression, pregnancy and neonatal outcomes. METHODS This cohort study involved 394 pregnant women referred to the prenatal care clinic at the Al- Zahra Hospital, affiliated to Guilan University of Medical Sciences, Iran. We used a convenient method for sampling. We collected data using questionnaires on demographic and obstetric characteristics, the CES-D scale for depression evaluation and a checklist for recording pregnancy outcomes. RESULTS According to the results, preeclampsia, premature membrane rupture, preterm delivery, cesarean section, intrauterine fetal death, and intrauterine fetal growth restriction were higher among mothers with depression during their pregnancies, compared to those who did not have depression. In addition, the mean birth weights of depressed mothers' infants were lower than the infants of mothers who did not have depression. CONCLUSION Results from the present study showed that depression during pregnancy is associated with pregnancy and neonatal outcomes. Healthcare planners and mental health counselors should regard screening mothers with risk of depression and following them up and, in the necessary cases, referring to psychiatrists.in English, French Nous discutons la démarche sémiologique et diagnostique d’un cas d’ataxie chez une patiente de 62 ans, indemne de tout antécédent médical significatif. A l’occasion de cette vignette diagnostique, nous insistons sur trois aspects 1. La nécessité de contextualiser la démarche pour éviter d’évoquer des diagnostics différentiels irréalistes; 2. find more La nécessité de choisir les examens complémentaires pertinents en les hiérarchisant en fonction de la probabilité de contribuer au diagnostic, de leur invasivité et de leur disponibilité, y compris de leur coût et 3. Le caractère évolutif de la démarche diagnostique qu’il faut pouvoir remettre en question au fil des informations que fournissent l’évolution du patient et les résultats des investigations.in English, French L’objectif de ce travail est de décrire les effets indésirables du biosimilaire du rituximab en «vie réelle» dans les services d’Hématologie adulte et de Néphrologie pédiatrique. Les effets indésirables ont été codés selon la classification des «Common Terminology Criteria for Adverse Events» (CTCAE). Cinquante patients adultes ont été inclus pour un total de 126 cures et 11 enfants pour un total de 24 cures de biosimilaire. Chez l’adulte, des réactions liées à la perfusion du biosimilaire ont été caractérisées par un bronchospasme avec frissons, une réaction au point d’injection et un cas de vomissements. Chez les enfants, les réactions liées à la perfusion étaient similaires avec un bronchospasme, une réaction au point d’injection, un cas de vomissements, et un cas de selles liquides. Chez les adultes, les effets indésirables les plus fréquents étaient la neutropénie (13,5 %), une anémie (8,7 %), une thrombopénie de grade 1 (6,3 %), une asthénie (2,4 %), une infection (2,4 %). Chez les enfants, un cas de neutropénie de grade 4, une fièvre et une conjonctivite ont été enregistrés. Le profil d’effets indésirables du biosimilaire du rituximab chez les adultes et les enfants est rassurant.in English, French Le syndrome de désadaptation psychomotrice (SDPM) fut initialement décrit par l’école de Gériatrie dijonnaise (France), il y a trois décennies, sous l’appellation «syndrome de régression psychomotrice». Si la description clinique initiale reste inchangée, des progrès furent cependant réalisés dans sa physiopathologie et sa prise en charge, d’où le nouveau nom, SDPM, apparu dans les années 1990. Le SDPM est aussi appelé syndrome de dysfonctionnement sous-cortico-frontal depuis les années 2000. Il traduit une décompensation posturale de la marche et des automatismes psychomoteurs, liée à une altération de la programmation posturo-motrice, consécutive à des lésions sous-cortico-frontales. Le SDPM se caractérise par une rétropulsion, des anomalies aspécifiques de la marche et des signes neurologiques (hypertonie réactionnelle, diminution des réactions d’adaptation posturale et des réactions parachutes …). Les signes psychologiques sont une peur de la marche, voire du lever dans la forme aiguë (syndrome post-chute), une bradypsychie avec anhédonie dans sa forme chronique. L’apparition du SDPM résulte de l’association de trois facteurs impliqués dans la diminution des réserves fonctionnelles, diminution liée à l’altération des structures sous-cortico-frontales vieillissement, pathologies chroniques et situations aiguës réduisant le flux sanguin cérébral. La prise en charge du SDPM est pluridisciplinaire, incluant médecins, kinésithérapeutes, psychologues et équipe soignante.in English, French Cette étude rétrospective a pour but de déterminer si les patients diabétiques sont plus à risque de développer une infection urinaire en cas d’obstruction urétérale. 804 patients ayant bénéficié de la mise en place d’une sonde JJ en urgence pour une lithiase urétérale ont été sélectionnés entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2014 à la Clinique Saint Pierre d’Ottignies, à Ottignies Louvain la Neuve, Belgique. Ces patients ont été répartis en 2 groupes suivant qu’ils étaient ou non suspects d’infection urinaire associée. Dans le groupe des patients infectés, 82 patients étaient diabétiques alors qu’ils étaient 46 dans le groupe des patients sans infection urinaire. Les résultats montrent qu’il existe une différence significative entre les deux groupes en présence de diabète (p inf�rieur a 0,001). Cette étude montre un risque accru d’infection urinaire en cas d’obstruction urétérale chez les patients diabétiques. Un traitement invasif pourrait donc être envisagé plus rapidement.